Shopping virtuel

Enfin, que les choses soient claires, "virtuel" dans la pratique uniquement, pas pour le porte-monnaie !
Je me disais qu'on pouvait profiter de cet espace pour échanger nos trucs en matière de shopping en ligne (pensez à la pauvre provinciale que je suis, qui n'a pas toutes les enseignes à sa porte !!).

Pour les bijoux, j'aime bien Les bijoux de Virginie, pour les produits de beauté bio, Majestic Provence.

J'ai aussi lu dans le Elle de cette semaine qu'avant d'effectuer un achat sur Internet, si on passe par le site Soliland, un pourcentage du montant de nos achats est reversé à une association (et on ne paie pas plus cher). Soliland a des accords avec plus de 200 enseignes.

Dernière chose, je ne sais pas trop si je devrais m'y risquer, bon allez tant pis, vous allez toutes me prendre pour une folle... Je vous incite à aller faire un tour sur le site de Mooncup (c'est rien que pour nous, les filles). Si les mecs y vont quand même, je vous préviens tout de suite, c'est pas très glamour !
En tout cas, cette Mooncup, c'est la révolution ;-) un peu comme la machine à laver.

C'est beau (et un peu flou aussi) une ville, la nuit...

Lisbonne, fin septembre

où nous étions pour un anniversaire,

nous aussi (allez voir chez Pauline).

J'en profite pour faire un coucou à Vanessa,

qui est côté Pacifique d'ailleurs en ce moment même !

Pas si engloutis que ça...

La gym, c'est bien mais en musique, c'est mieux...

Et si on aime les sports d'équipe, pourquoi ne pas tenter sa chance en s'élançant le long d'un filet et en éclatant ses adversaires à coup de smashs intergalactiques.

D'accord, c'est pas donné à tout le monde, mais dans la vie, il faut bien prendre des risques, non ?

L'avantage, c'est qu'en écoutant ça, on est sûr d'être un peu une star dans son salon...

Personnellement, ce qui me botterait le plus, ce serait de partir sur les traces du Shagma...

Et puis, pour les plus grands nostalgiques d'entre nous...

(PS: spécial dédicace pour les copines de Visiontext.)

Et un, et deux...!

En ce lundi matin, un clin d'oeil à dame Cathy et à ses dessins farfelus qui m'ont redonné envie de faire de la gym !

Ca aura peut-être le même effet sur vous... (j'avoue aussi avoir lu qu'à partir de 30 ans, on perdait 10 % de sa masse musculaire par décennie... alors quand on n'a pas beaucoup de masse musculaire au départ...)

Les hommes seraient-ils des blondes ?

Hé, les mecs, c'est aussi compliqué que ça de la mettre dans le bon sens ?!!

Quelques conseils en vue du week-end ;-)

Cf une de mes sources fétiches, Courrier International.

Mettre un préservatif ? Un tue-l’amour. Sauf avec la capote express mise au point par un inventeur sud-africain. Le Pronto s’enfile en moins de trois secondes, affirme Willem Van Rensburg. Avec un préservatif traditionnel, le temps d’ouvrir l’emballage, d’en extraire la chose, de trouver le bon sens “et de l’enfiler, le cœur n’y est plus”, lit-on sur son site Internet. Déjà disponible sur le marché sud-africain, le Pronto se met sans qu’on ait à retirer l’emballage, écrit le Sunday Times de Johannesburg. La pochette s’ouvre facilement au milieu, les deux parties restant attachées le temps de dérouler le préservatif directement sur le pénis. “Si on est lent, ça prend trois secondes, mais c’est tout à fait faisable en une seconde”, assure Roelf Mulder. L’emballage est muni de minuscules crochets en plastique qui déroulent le préservatif quand on tire la pochette vers le bas, explique l’ancien associé de Willem Van Rensburg, qui a participé à la conception du mécanisme.

L’Afrique du Sud a beau être un des pays les plus touchés par le sida, plusieurs études montrent que beaucoup d’hommes renoncent aux rapports protégés parce qu’ils doivent batailler avec l’emballage. “Beaucoup disent que ça coupe l’envie.” Le Pronto devrait être plus efficace que ses prédécesseurs dans la lutte contre les MST. En effet, il arrive que la capote traditionnelle soit enfilée à l’envers, contaminée, puis replacée dans le bon sens. “Le Pronto ne peut se mettre que dans un seul sens. C’est clairement indiqué sur l’emballage, et il y a des entailles aux endroits où il faut l’attraper pour le dérouler.”

Couronné en 2002 par un prix décerné par l’Office sud-africain de normalisation, le Pronto a été breveté dans plusieurs pays dont les Etats-Unis. L’usine se trouve à Stellenbosch, dans la banlieue du Cap, mais il n’y a pas encore de projet de distribution mondiale. Développé avec le soutien d’un bailleur privé, ce préservatif est vendu depuis peu dans les pharmacies sud-africaines au même prix que les modèles haut de gamme déjà sur le marché.

Joyeux anniversaire, grande soeur !

C'est la ouate, qu'elle préfère !

Ce festival de tiges cotonneuses, c'est encore Kéa.

Pyjama party

Courrier International nous apprend, je cite, que « Plus de 16 % des personnes interrogées [à Shangai] affirment qu’elles-mêmes ou des membres de leur famille se rendent régulièrement dans un lieu public en pyjama et 25 % reconnaissent l’avoir déjà fait, a indiqué mercredi Yang Xiong, un professeur ayant participé à la réalisation de ce sondage parrainé par l’Académie des sciences sociales de Shanghai et la Fédération des femmes de la ville. »

C’est surtout l’analyse qui est surprenante et rigolote :

« Plusieurs théories expliquent pourquoi le port du pyjama – une tunique en coton souvent décorée de fleurs ou de petits animaux – est si répandu dans la ville chinoise la plus riche et la plus cosmopolite. L’une d’entre elles explique que certains habitants sortent en pyjama pour souligner la proximité de leur domicile du centre-ville et, ainsi, renforcer leur statut social. Une autre y voit une réminiscence de la vie traditionnelle qui avait cours il y a des décennies dans de petites communautés, alors autonomes. »

J’en connais d’autres qui passent leurs journées en pyjama et qui ne sont ni chinois, ni traditionalistes, ni résidants du centre-ville !!
Ils sont simplement free-lance ;-)

Ethan

Ethan, tu es né cet après-midi à Sarcelles City et on t'aime tous déjà !!

Elisabeth, Eric et Elias, votre coeur doit être perché très haut dans les étoiles, ce soir...

Pour la photo, merci Kéa, photographe des stars, star des photographes :-)

Du velours

Des photos tout en délicatesse, réalisées par Sophie Thouvenin (plein d'autres bijoux sur son site, prismes), pour plonger dans le week-end...

Mad about madison

Grâce à ma sister qui a fait cette jolie trouvaille, voilà deux jours que je m'entraîne au madison dans mon salon.

Cliquez ICI pour voir un extrait du film "Bande à part" (ça m'a d'ailleurs donné envie de le voir) arrangé d'une manière tout à fait spéciale et assez planante...

(le pull de Claude Brasseur vaut aussi le détour).

Aux oubliettes, les petites annonces de Libé et Meetic !

Vous connaissez ça, les Parisiens ?

moi, j'aime pas le steak saignant

t'as raison, fiston, t'es comme ta mère !

ça décoiffe

Un petit hommage au frérot, en images.

On dirait que son skate a des ailes...

Indianos

Des Indiens, des vrais, et ils sont TROP mignons (surtout habillés en schtroumpfs ;-) !!!!!!!
(c'est pas du tout la mise en page que je voudrais... Blogger a encore bcp de secrets pour moi...)

GRANDE TOMBOLA

Voici l'affiche de la tombola lancée le 5 novembre prochain, à l'occasion de l'anniversaire des 20 ans de l'arrivée de David et Moises en France !
Les lots-surprises seront nombreux, artisanaux... et sans doute très originaux, alors n'hésitez pas !!!

Le tirage au sort aura lieu en mars, à notre retour.

Quelques précisions :

L’argent récolté grâce à la vente des billets de tombola sera efficacement mis à profit.

Nous sommes en train d’étudier plusieurs pistes :

- parrainer un enfant du Salvador via l’organisation PLAN INTERNATIONAL.
http://www.planfrance.org/divers/formulaires/je-parraine-un-enfant/parrainage-enfant.html

- soutenir un programme/projet centré sur l’enfance et l’éducation, tel celui mis en place par Global Volunteer Network http://www.volunteer.org.nz/elsalvador/index.php

- soutenir une ONG basée au Salvador, telles celles listées sur http://www.idealist.org/.

3 mois avant le grand départ !

Nous créons cet espace pour vous raconter, le moment venu, nos tribulations au Salvador, en février 07...

A bientôt !