J-20, poil aux mains
Pour vous montrer l'intérieur du musée, ça va être un peu limité. Les photos étaient interdites, mais j'en ai quand même pris une au péril de ma vie (et je peux vous dire que les gardiens ne rigolaient pas, ils avaient l'air aussi aimables que des CRS).
Les photos des oeuvres, qui valent vraiment le détour, feront l'objet d'un autre post.
Dimanche, après avoir visité l'expo, on a parcouru au moins 10 km dans une ville morte (c'est comme ça à Bilbao, c'est noir de monde le samedi, désert le dimanche), en tentant d'éviter crottes de chiens et autres désagréments d'une ville pas hyper entretenue, il faut bien le dire.
Cela (je parle des 10 km) a quand même eu pour avantage de nous aider à digérer tous les pinchos (tapas) ingurgités, sans parler des churros en dessert.
Regardez bien : Léo brandit son churros sur la droite (...).
Grâce à un ascenseur d'un autre siècle (dont le fonctionnement est assuré par un monsieur qui y passe la journée, avec pour simple compagnie un poste de radio), nous sommes montés - pour la modique somme de 0.30 euro chacun, même la poussette a payé - en haut de la tour qu'on voit ci-dessous, et d'où on surplombe la ville.
7 Comments:
Leo a un bien gros churro, ma foi !
Oui, moi aussi, j'ai trouvé cette histoire de churro un peu tendancieuse, mais comme je suis polie et discrète, contrairement à Pauline, je n'ai soufflé mot.
Miam, il était trop bon, son churro, à Léo !
Vanessa, je te trouve un peu olé olé, tout à coup... je ne suis pas sûre que Nath cautionne toutes nos dérives sur son blog... Nous verrons bien demain.
Hé! C'est pas moi qu'ai commencé, m'dame !
C'est vous qui avez l'esprit mal tourné...
Après tout, je n'ai parlé que de "poils aux mains"...
ça devient hot sur ce blog !!
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