lundi, avril 23, 2007

De la souplesse du traducteur + plage + cookies


(le fameux stylo traducteur. AH AH AH !)
Il y a la souplesse des doigts sur le clavier. Celle-là, c'est bon, elle est acquise depuis un petit moment déjà. Je me souviens des débuts, quand j'observais avec admiration ma coloc' qui avait un ordinateur portable (en 1995, je regardais encore cet appareil avec crainte) et apprenait consciencieusement à taper à l'aide d'un truc barbare du nom de "dactilogiciel". Elle s'exerçait pendant des heures, les yeux rivés sur l'écran (et non sur le clavier, justement. Trop facile sinon).

Moi, j'ai appris sur le tas (et sur le tard), mais les longues soirées de boulot se vite révélées très efficaces pour parfaire ma frappe !
Il y aussi la souplesse "intellectuelle", à savoir tous les sujets qui passent entre nos mains.
Et là, cette semaine, je trouve que l'exemple est assez parlant : je jongle entre un script pour une expo sur les gravures de Dürer, la carte du mois d'avril d'un resto espagnol et l'adaptation (sous-titrage en français) d'un épisode de Fort Boyard (quand ce n'est pas La roue de la fortune ou autre émission qu'il faudrait me payer cher pour que je la regarde - hum, jolie phrase !!!). Mais justement on me paye, alors tout va bien.

Alors, quand j'ai la tête comme une pastèque, je vais m'aérer près de la mer, comme l'autre jour où j'ai pu constater l'avancée des travaux dans la falaise de la plage du VVF d'Anglet et comme ça vous intéresse peut-être (enfin, vous n'avez pas vraiment le choix, finalement), je vous raconte.
Voyez ci-dessous :

En haut de la falaise tout à fait à gauche vit un Espagnol très friqué et très influent. Il a obtenu le droit de faire construire sous sa maison, dans la falaise, un point de vue sur la mer (là où voyez l'espèce de carré blanc). Il était même question qu'il se fasse installer un ascenseur pour descendre sur la plage. Y a des mégalos, tout de même.
Une petite recette de cookies pour la route ? Ils nous ont bien aidés, dimanche soir dernier, à ne pas trop déprimer à l'annonce des résultats de NS.
Super faciles à faire :
Pour environ 24 cookies.

Un sachet de 100 g de pépites de chocolat noir
1/2 plaquette de chocolat blanc en pépites (pas trouvé de sachets tout prêts !)
1 grosse cuillère à soupe de flocons d'avoine
200g de farine
150g de beurre mou
150g de sucre roux
1 oeuf
10 ml de vanille liquide
10g de levure
1grosse pincée de sel

Mélanger beurre mou + sucre, puis oeuf et vanille.
Ajouter le reste des ingrédients.
Sur une grille recouverte de papier cuisson, déposez des petits tas de pâte à l'aide d'une cuillère à soupe, puis enfournez 8 à 10 mn à 180°.
(il faut bien surveiller et ne pas hésiter à sortir les biscuits même plus tôt et même s'ils n'ont pas l'air totalement cuits. Ils durcissent en refroidissant. Si on les laisse trop longtemps, ils crament très vite !!)

4 Comments:

Anonymous Anonyme said...

c'est absolument ahurissant,l' histoire de ce mégalo espagnol, alors que la falaise est super fragile ; our nous simple pequenot (je ne sais pas écrire ce mot) il est interdit de nous promener.... c'est absolument fou !!!!!
Comment se passe l'école maternelle ? les exloits de Paolo ?
marie-thérèse

10:18 PM  
Blogger Pauline said...

Ah, pour une fois, la recette proposée ne me déstabilise pas. les cookies au chocolat blanc, c'est un peu ma spécialité et je confirme, faut les sortir du four alors qu'ils sont encore mou ! C'est meilleur et bien plus chewy !

8:57 AM  
Anonymous Anonyme said...

par contre moi j'suis novice, faut tout m'expliquer. C'est quoi la levure ? chimique?
:)merci

2:37 PM  
Blogger Na said...

Salut Christine !
oui, un sachet de levure 100 % chimique disponible dans tout(e) bon(ne) supermarché / épicerie.

Salut Marie-Thérèse ! l'école se passe bien, même si Paolo proteste tous les matins pour y aller...! J'espère que ça va se tasser !!
(au fait, c'est "péquenaud", je viens de vérifier - merci, le Petit Robert électronique !)

4:06 PM  

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