mercredi, janvier 31, 2007

J-4, ça sent la poussière par ici !!!

C'est que je suis en train de savourer cette semaine qui, même si elle passe lentement, nous emmène inexorablement et délicieusement vers dimanche et vers le départ. J'ai l'impression géniale qu'en allant à la rencontre du passé de David, on va encore mieux construire notre histoire familiale... :-)




(un peu de musique pour lire la tartine ci-dessous).

Je mets une photo de San Salvador qui sera sans doute plus réussie que celle que je prendrai peut-être de l'avion !
On atterrit dimanche à 18h10 heure locale (il y a 7h de décalage horaire).



Chose promise, chose due, voici les 5 révélations que Karine m'a sommée (accord ?) de faire (enfin, je n'ai tjs pas trouvé dans quelle partie de son blog, elle l'a fait, mais je m'y colle avec plaisir !) Thérèse... à toi de prendre le relais !!

- Je suis tombée par hasard dans le sous-titrage en 2000 après avoir fait des études de traduction technique et n'ai finalement, même si j'adore ça, qu'une très médiocre culture cinématographique. C'est ce qui m'a valu de grandes crises d'angoisse quand je bossais chez SDI et qu'on déjeunait tous ensemble le midi. J'appréhendais ces moments parce que je connaissais rarement les acteurs et les films dont tous mes collègues amis parlaient. Je me suis abonnée à Première (tu comprends mieux la collection dans les toilettes, Sarah ?!) et me suis mise à surfer sur des sites de people pour voir les acteurs(ices) en photos et savoir, enfin, de qui tout le monde parlait à midi.

Je n'ai que partiellement comblé ces lacunes bien sûr, d'autant que depuis que la famille s'est agrandie, je vais peu au ciné et que je déteste regarder la télé de manière générale !
Popo, Sarah, Elisou, Karine, Cilou, Chloé et les autres... vous savez tout !!!


- Je suis très, trop sensible, j’essuie des larmes sans arrêt et parfois dans les situations les plus absurdes pour ne pas dire débiles.
Quand j'étais enceinte et que je regardais Les Maternelles, je versais une larme tous les matins, pendant le générique, au moment où la main de l'adulte prend la main du bébé (hum).
Très souvent, quand je sous-titre un film et que la fin est émouvante, je verse qqs larmes face à mon écran (et je recommence à chaque fois que je repasse la scène en question bien sûr.)
Le clou, j'ose à peine vous le raconter, c'était il y a qq temps, en voiture. J'aperçois des motards dans le rétro alors je m'écarte pour les laisser me doubler (chuis comme ça, moi). En fait, c’était un type avec son petit garçon à l'arrière. Pour me remercier, ils ont fait le geste traditionnel du chien qui fait pipi avec la jambe (enfin, vous voyez, quoi). Mais c'était trop rigolo parce qu'ils l'ont fait tous les deux, exactement en même temps. Eh ben, en voyant cette synchronisation parfaite, le petit garçon qui faisait comme son père, j'ai senti mes yeux se remplir de larmes !! J'étais toute seule dans la voiture, heureusement. La honte totale. (Enfin, maintenant, tout le monde est au courant !)
Je me suis dit "C'est pas possible. Tu débloques, ma vieille." Je n'y croyais tellement pas moi-même que j'ai acheté un test de grossesse le lendemain pour être sûre que c'était pas les hormones qui me travaillaient (ça ne m'aurait pas du tout arrangé d'être enceinte avant le départ, mais au moins, ça aurait excusé mon excès de sensibilité !!)


- L’une de mes plus grandes hontes (beaucoup connaissent l’histoire) a eu lieu qd j’étais en 6e et que j’ai mis, pour aller au collège, une chaussure de tennis blanche et un mocassin vert et bleu (j'avais sport le matin et je me suis changée à la va-vite pour les cours de l'après-midi en repartant de chez moi à 14h). Tout le monde s’est moqué de moi, j’avais envie de rentrer sous terre, c’était affreux (ça a l’air anodin, comme ça, mais qd on est en la risée des 3e et autres « grands », on a les boules). C'est bien sûr le jour où la prof d'anglais m'a demandé d'aller chercher la cassette d'anglais au CDI et où le prof de math m'a envoyé au tableau.

- Je suis un peu maso : j’adore que David me masse mais dès qu’il commence, j’angoisse à l’idée qu’il va fatalement arrêter à un moment ou à un autre et ça me gâche tout le plaisir à venir alors je préfère qu’il ne me masse pas du tout !! J'ai même pensé le payer, pour une heure par exemple, pour l'obliger à continuer !! (et puis je me suis dit que je n'avais qu'à faire appel à un masseur professionnel - dans un institut ou une thalasso, je veux dire !!)

- Et enfin, last but not least, je regarde très régulièrement mes fesses dans le miroir pour vérifier qu'elles ne tombent pas (mais rassurez-moi, tout le monde fait ça, non ?!)

dimanche, janvier 28, 2007

J-7... pour du beurre

Oui, un post qui compte pour du beurre parce que je me contente de mettre qqs photos de neige de ces derniers jours.Il faut dire que je réfléchis aux 5 révélations fracassantes que je suis censée vous livrer (à la demande de Karine et pour ne pas briser la blog-chaîne).

(la Côte des Basques sous la neige)

Là, j'ai eu un peu honte après coup. Je me suis extasiée devant ce bonhomme de neige, ce qui a fait bcp rire le type du bar. Je n'ai compris pourquoi qu'après (je n'avais pas vu le bâton subtilement placé).

A Bassussary, près de la crèche de Paolo.

jeudi, janvier 25, 2007

J-10, v'la t-il pas qu'on est sous la neige !!


Bon, là, je triche, la photo n'a pas été prise par moi.
Elle vient de .

Vous pouvez aussi aller faire un tour sur la webcam de la Grande plage de Biarritz, c'est rigolo et dépaysant !

mercredi, janvier 24, 2007

J-11, petit coup de pub...

...pour la pièce "Passages", réalisée par Marie-Carmen, que certains connaissent, à la Vieille Grille, samedi à 18h30.
De la musique, du mime et du chant apparemment, mais je n'en sais pas plus.

Pour plus d'informations, contactez Marie-Carmen à l'adresse e-mail ci-dessous.
Break a leg, comme on dit !! (vieille expression que je garde du collège, je ne sais même pas si ça se dit vraiment).



lundi, janvier 22, 2007

J-13, toute ma jeunesse...

Aujourd'hui, avant-dernières courses :
je vous passe les détails, mais si un jour vous partez sous les tropiques, demandez-nous notre check-list, y a à peu près tout dessus (enfin... on verra au retour tout ce qu'on avait pris en trop et tout ce qui nous a manqué !)
Pour les achats les plus anecdotiques, il y a eu deux mousquetons et un bout de corde chez Décathlon pour attacher Paolo à David dans les bains de foule type aéroports histoire de ne pas le perdre - Paolo.
Je mettrai une photo au moment de l'essayage du système.
Une lampe magique qui se recharge grâce à une manivelle et fait office de lampe donc, mais aussi de chargeur de téléphone portable et d'ipod, et d'alarme.
On a aussi acheté des serviettes de toilette ultra-compactes qui ne se mouillent quasiment pas (on se demande si elles sèchent vraiment), et rassemblé de la ficelle et des épingles pour faire sécher notre linge entre deux bananiers.
On a 3 petits sacs confectionnés par ma môman pour y mettre chacun nos petites affaires personnelles (je parle des culottes et des chaussettes, parce que les sous et les papiers importants, on les met dans une pochette spéciale autour du cou of course). Les petits sacs sont un réflexe qui reste à ma maman du temps où j'étais Guide de France et où elle devait me confectionner des milliards de sacs avant de partir en camps (sac à linge sale, sac à sandwich à l'omelette, sac à bazar... tous les sacs étaient identiques, c'était plus l'embrouille qu'autre chose.)

Il ne nous reste quasiment plus qu'à faire 10 photocopies de nos passeports et de nos billets (on n'est jamais trop prudents), à finaliser la trousse à médocs et à prier pour que Paolo soit propre dans 10 jours ce qui nous éviterait de transporter force couches et lingettes !!!
A part ça, on n'aura pas à se stresser inutilement pour ne pas oublier le doudou vu qu'on l'a déjà perdu la semaine dernière :-(((

L'autre anecdote qui n'a rien à voir avec les courses, c'est qu'on va quitter notre ville de 40 000 habitants, notre bled, quoi, pour se retrouver dans une mégapole de plus de 2 millions d'âmes. Ouahou !!

(toute ma jeunesse, c'est Sam Brown. Je connais les paroles par coeur depuis la terminale... voire avant et je la chante très bien à tue-tête dans la voiture.)

samedi, janvier 20, 2007

J-15...

un peu de musique pour le ouikende (ça repose le clavier).

vendredi, janvier 19, 2007

J-16, ça devient sérieux

Un dernier petit tour chez les artistes de 100 % Africa.
Aujourd'hui, deux artistes Congolais : Chéri-Chérin et Moke.


Ci-dessus, "Démoncratie" (on voit un tout petit diable, en bas à gauche, qui récupère les bulletins de vote glissés dans l'urne). Chéri-Chérin est un artiste engagé, qui dépeint souvent la lutte sociale (je vous épargne ses représentations sanguinolentes de catastrophes humanitaires).

Et voici deux tableaux de Moke :

"Emancipation de la femme congolaise" (2000).
(On dirait bien un minitel sur sa droite ?!!)
Maintenant, éloignez les âmes sensibles de l'écran car voici la "Jolie femme" de Moke.
Allez dire, après, que les hommes ne s'arrêtent pas au physique !!!!! (non, d'ailleurs, personne ne le dit !)

"Jolie Femme" (1999)
Pour terminer, si ça vous intéresse, un petit laïus sur Moke (je vous rassure, bientôt je serai au bout du monde, avec une connexion Internet très aléatoire et je ne pourrai plus poster des tartines !) :
"Découvrant qu’il existe un marché pour l’art de la peinture, Moke apprend à peindre des paysages sur des vieux cartons. En 1965, il réalise un tableau du général Mobutu saluant la foule le jour du défilé de la fête commémorative de l’Indépendance. Il reviendra longtemps sur cette composition qui a lancé sa carrière. Il ouvre un studio dans un quartier où résident de nombreux artistes spécialisés dans la peinture d’affiches et de publicités, et se plonge dans la vie quotidienne de Kinshasa, sa « ville muse ».
Moke adopte les conventions du dessin publicitaire : personnages robustes aux contours grossiers, absence de réalisme et de perspective, couleurs riches et variées et compositions gaies. Moke ne se fait que rarement l’écho de luttes sociales. Ses toiles drôles, vives et sympathiques témoignent plutôt de son observation de la vie quotidienne à Kinshasa."

jeudi, janvier 18, 2007

J-17... Besoin de zen

Un, deux, trois... plongez... et découvrez l'univers magique de l'enfant-lumière...

On est tellement privilégiés que ce matin, on est allés à un atelier dessin organisé par l'illustrateur et l'auteur de ce petit bijou...



(Là-dessus, Paolo a l'air très concentré... Mais l'effet gommettes a une durée très limitée dans le temps. 2 secondes et demi plus tard, nous nous faisions quasiment renvoyer de la médiathèque par les vilaines dames pour cause de tapage.)

Comme aujourd'hui c'était la journée des enfants (quoi que celle-ci aurait plutôt dû s'appeler, comme me l'a si justement suggéré TT au téléphone tout à l'heure "journée contraceptive" - les parents comprendront sans doute ce que je veux dire), j'en profite pour mettre ces photos d'une belle journée passée avec Paolo chez ses nouveaux copains, Alexia et Timoté (Laurence, vite, rectifie l'orthographe si besoin !!).

Vous ne trouvez pas qu'on dirait des frères et soeur, ces trois-là ?!

mardi, janvier 16, 2007

J-18... De ceux qui ont à peine 30 ans !


Guillaume était bien le dernier de la bande des Biarrots à ne pas avoir viré trentenaire. C'est chose faite et on peut donc désormais allègrement dire que nous sommes tous.... mûrs, beaux et épanouis et j'en passe et des qualificatifs flatteurs.

L'épisode du cadeau fut un vrai sketch. On a tenté de le lui faire deviner grâce à un dessin magnifiquement réalisé par Ulysse et Rachel. L'indice était un canard avec un truc gênant à la patte.

Au bout de 30 minutes et de milliards de questions, notre diplômé de Sciences Po a fini par comprendre qu'on lui avait offert un abonnement au Canard Enchaîné.
Tout y est passé : Canard WC ? Canard Duchesnes ? Canard-Sutra ? (des idées pour les prochains anniversaires, Marie), etc.
TT et Nelly, j 'en oublie, n'hésitez pas à rallonger la liste dans vos commentaires, gnark gnark ;-)

J-19... culturons-nous un peu...



Je vais essayer, sur quelques jours, de vous faire partager un peu l'ambiance de cette expo "100 % Africa".

Voilà, pour commencer, des clichés de Seydou Keita, un artiste malien né à Bamako (1921-2001).



Keïta dépeint la société de Bamako, à l’époque où le Mali passe du statut de colonie française à celui d’État indépendant.



L'artiste met l'accent sur les composantes essentielles du portrait telles que la lumière, le sujet et le cadrage. Keïta est capable de travailler pendant des heures pour dégager toute la beauté de ses sujets.



Quand Jean Pigozzi entreprend de collectionner les photographies de Keïta pour le CAAC (Contemporary African Art Collection), il fait faire, avec le conservateur André Magnin, des agrandissements à partir des négatifs de Keïta. L’artiste décrit ainsi sa réaction en les découvrant :
« Vous ne pouvez pas imaginer ce que j’ai ressenti la première fois que j’ai vu des tirages grand format de mes négatifs, sans tache, propres et parfaits. J’ai compris que mon travail était vraiment bon. »


Avant de mourir, en 2001, Keïta jouit d’une renommée internationale, qui ne cessera de le surprendre.
« Franchement, on travaille pour gagner son pain quotidien. Quand on est chef de famille, on doit subvenir aux besoins de sa famille ! Au début, la photographie était pour moi un moyen d’arriver à mes fins. Je ne pensais jamais exposer un jour. »

lundi, janvier 15, 2007

J-20, poil aux mains



Pour vous montrer l'intérieur du musée, ça va être un peu limité. Les photos étaient interdites, mais j'en ai quand même pris une au péril de ma vie (et je peux vous dire que les gardiens ne rigolaient pas, ils avaient l'air aussi aimables que des CRS).
Les photos des oeuvres, qui valent vraiment le détour, feront l'objet d'un autre post.

Dimanche, après avoir visité l'expo, on a parcouru au moins 10 km dans une ville morte (c'est comme ça à Bilbao, c'est noir de monde le samedi, désert le dimanche), en tentant d'éviter crottes de chiens et autres désagréments d'une ville pas hyper entretenue, il faut bien le dire.
Cela (je parle des 10 km) a quand même eu pour avantage de nous aider à digérer tous les pinchos (tapas) ingurgités, sans parler des churros en dessert.


Regardez bien : Léo brandit son churros sur la droite (...).


Grâce à un ascenseur d'un autre siècle (dont le fonctionnement est assuré par un monsieur qui y passe la journée, avec pour simple compagnie un poste de radio), nous sommes montés - pour la modique somme de 0.30 euro chacun, même la poussette a payé - en haut de la tour qu'on voit ci-dessous, et d'où on surplombe la ville.



Pour finir (mon reportage n'a ni queue ni tête, mais je n'arrive pas à faire mieux), une vue rosifiée de l'arrière du musée :


Cette sculpture de Louise Bourgeois s'intitule "Maman" (bronze, 1999).
Vue de près on remarque qu'elle porte un "cocon" contenant des oeufs sous le ventre.

vendredi, janvier 12, 2007

J-23 ! Fichtre !

En attendant, on passe la frontière et on part exercer notre espagnol à Bilbao...

Bilbao ou Bilbo ( en Euskera, la langue basque) est une ville du nord de l'Espagne d'environ 350 000 habitants (900 000 habitants dans l'agglomération) et capitale de la province de Biscaye (Bizkaia). C'est une des villes les plus importantes du Pays basque (Euskal Herria) et du nord de la péninsule ibérique, ainsi que l'un de ses principaux centres économiques. La ville est située sur le fleuve Nervion.

Selon Wikipédia : "Le musée Guggenheim de Bilbao est un musée d'art moderne situé à Bilbao, Pays basque, Espagne. C'est l'un des différents musées de la fondation Solomon R. Guggenheim. La structure du bâtiment a été dessinée par le bureau d'architecte Franck Gehry et il a ouvert au public en 1997. Il devint immédiatement un des bâtiments (post-)modernes les plus caractéristiques. Le précédent maire et membre du parti libéral-catholique espagnol Juan Alphonso Caussar a suscité de nombreuses critiques lors de l'ouverture du musée en le décrivant comme "ressemblant encore plus a une boite de mouchoirs que l'opéra de Sydney" (c'est un peu vrai, cela dit !!). Cette phrase a lancé une vive polémique sur les inspirations de l'architecture post-moderne, souvent stigmatisée pour son utilisation de références a des objets du quotidien jugée vulgaire par ses opposants."

Pour moi, c'est un navire chatoyant et à l'heure du coucher du soleil, je le trouve d'une rare beauté...
Au programme : plein de tapas, l'excellente expo "100 % Africa" dont le guide audio est, paraît-il, d'excellente qualité (hihihi), encore des tapas et surtout de bonnes tranches de rigolade avec Vanessa et Léo !
Habra mas dentro de unos dias...

mercredi, janvier 10, 2007

Fresh, so fresh

Ouf, un peu de nouveauté sur cette page !!
moi non plus, je n'en pouvais plus de voir les mêmes cocotiers se balancer dans le vent... (c'est surtout qu'il me tarde de les voir se balancer en vrai dans le vent :-))

Voici deux jolies images réalisées par Goubliboulga. Je ne la connais pas personnellement, mais je craque pour les petites bêtes qui peuplent son univers...



Et un article qui m'a bien plu, paru dans l'excellent blog (quoi qu'un peu trop intello pour moi parfois) des correcteurs du Monde, langue sauce piquante.

Pad

"Tant de sens dans un si petit mot ! Citons : coussinet sous la patte des chiens ou des chats, tampon encreur, feuille (de nénuphar), serviette hygiénique…., l’anglais pad est donc riche en douceur, aussi doux que touch pad, qui désigne cette “souris intégrée à un ordinateur portable” (Le Monde daté 9 janvier). La Commission générale de terminologie et de néologie vient de publier sa traduction officielle en français : “pavé tactile” , un peu rugueuse sous les doigts. Dommage, nous n’effleurerons pas cette “garniture de contact” de la traduction automatique."



jeudi, janvier 04, 2007

Feliz cumpleanos mi Amor...et J-31 avant le départ !





Joyeux anniversaire mon grand chéri, mon loulou, mon pacsou, mon Indien préféré !

Et une petite devinette pour l'occasion :

"Jeune je suis grande, vieille je suis plus petite. Je vis la nuit de tout mon éclat. Le souffle du vent est mon ennemi. Qui suis-je ?"

En jeu, une paire de boules Quies Air France qu'on ne manquera pas de rapporter du voyage.

lundi, janvier 01, 2007

Vous reprendrez bien un petit toast ?


Paolo et Agathe, encore plus fripouilles en 2007 qu'en 2006 !!



Mille voeux de bonheur à tous,
petits et grands, grands et petits !